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Les Fellations au Cinéma
Après avoir publié un dossier sur une des page de mrsskin.fr sur le sexe au Cinéma et y avoir consacré d'autres articles, je tiens à évoquer quelques fantaisies buccales cinématographiques dont la particularité est qu'elles peuvent ou ont pu être vues en salle, parce que le film a échappé au " x " infâmant. Diantre ! Comment ce fait-il? Une coupable faiblesse des censeurs ? Outre le fait que le " ixage " répond à des lois quantitatives (si le nombre de scènes de sexe est " important ", le film est ixé), il répond surtout à des lois qualitatives : les scènes sexuelles qui risquent le " ixage " doivent être explicites, les intentions du réalisateur sont-elles artistiques et narratives ou purement pornographiques (contenu d'ensemble du film). Dès lors, quelques pipes (et des scènes de baise, mais elles sont en général moins " visibles ") traversent des œuvres considérées comme appartenant au cinéma classique. Des exemples ? Les meilleures fellations au Cinéma en Vidéo, merci de voter pour ces meilleurs de moments de pipe au Ciné...
Les Fellations au Cinéma
En voici quelques-unes: (la plus célèbre fellation est celle de ...
Maruschka Detmers dans Le Diable au corps de Bellocchio (pipe politico- révolutionnaire, donc acceptable).
... mais revenons un peu à ce film: "Le Diable au Corps"
... Celle par qui le scandale est arrivé...
En 1986, le réalisateur italien Marco Bellochio réalise une transposition très osée du célèbre roman de Raymond Radiguet?, "Le Diable au Corps"...
Pour tenir le principal rôle féminin, il fait appel à la belle Maruschka Detmers, laquelle n'hésite pas à nous dévoiler généreusement ses charmes...
Mais la scène qui lui valu surtout les foudres de la censure et les honneurs de la presse people fut celle où elle pratique une fellation non simulée à son partenaire, le jeune acteur italien Federico Pitzalis...le pénis et le sourire aux lèvres ! Le cinéaste Marco Bellochio rétorqua que cette séquence était nécessaire pour expliciter la relation charnelle et fougueuse qui se noue entre les deux amants.. Maruschka Detmers, elle, se défendra en expliquant qu'elle aime jouer des rôles forts et extrêmes. A sa sortie en France, le film fut interdit aux moins de 12 ans.
Mais En dehors de cette scène culte, Maruschka nous gate en nous offrant plusieurs prestations entièrement à poil. 21° minute, elle sort de la salle de bain nue en courant pour prendre une serviette dans un placard. première présentation rapide de ses fesses, de ses seins et de son buisson (par ordre d'apparition à l'écran). 7 minutes après, dans le bureau du médecin, Maruschka se lève du canapé : elle est nue. Elle se précipite vers une porte qu'elle ferme à clé, puis jette la clé par la fenêtre. Tantôt de face, tantôt de dos, superbe plan sur son corps dénudé. Une demie-heure plus tard, une longue scène d'amour avec son jeune amant Federico entièrement nus tous deux bien sûr. Les mamelons de Maruschka sont superbement dressés. 69° minute, nouvelle scène d'amour. Federico la déshabille, l'allonge sur un piano, poursuit la jeune femme maintenant nue dans l'appartement... Et toujours ces mamelons en érection ! 83° minute, toujours dans le plus simple appareil, la touffe bien garnie en avant, Maruschka s'avance des clés à la main. Une nouvelle dois elle les jette par la fenêtre. Enfin, dans un salon dévasté, Maruschka danse, vêtue d'un peignoir rouge qui, malicieusement, laisse jaillir les poils pubiens de la jeune femme.
Une autre pipe fera date, au milieu de perversions bien exhibées, celle de L'Empire des Sens(pipe rituelle, acceptable aussi).
Patrice Chéreau, dans Intimité, laissera tourner sa caméra lors d'une très courte - en tout cas, pour ce qu'il en reste à l'écran - fellation (une pipe tournée par Chéreau est acceptable également).
O Fantasma, de Joao Pedro Rodriguez, nous donne à voir une fellation faite par un homme (pipe homosexuelle et quasi documentaire, donc acceptable).
Enfin, Serbis du philippin Brillante Mendoza propose un exercice buccal hétéro visible et un homo caché (une fellation exotique, donc acceptable).
Loin de nous l’idée de nous moquer : certains de ces films sont excellents et le ixage les eût assassinés. Mais parfois, les censeurs ont de curieux critères qui leur permettent, heureusement, de laisser s’exprimer la veine érotique ou pornographique de bons auteurs… Continuez dans cette voie. Evidemment, ils n’auraient pas pu ixer le court-métrage d’Andy Warhol intitulé Blowjob, un gros plan sur le visage d’un joli jeune homme qu’on suppose être bien traité par des lèvres gourmandes. Puisque ce n’est pas « explicite », vous dit-on…
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Les Fellations au Cinéma
En voici quelques-unes: (la plus célèbre fellation est celle de ...
Maruschka Detmers dans Le Diable au corps de Bellocchio (pipe politico- révolutionnaire, donc acceptable).... mais revenons un peu à ce film:
En 1986, le réalisateur italien Marco Bellochio réalise une transposition très osée du célèbre roman de Raymond Radiguet?, "Le Diable au Corps"...
Pour tenir le principal rôle féminin, il fait appel à la belle Maruschka Detmers, laquelle n'hésite pas à nous dévoiler généreusement ses charmes...
Mais la scène qui lui valu surtout les foudres de la censure et les honneurs de la presse people fut celle où elle pratique une fellation non simulée à son partenaire, le jeune acteur italien Federico Pitzalis...le pénis et le sourire aux lèvres ! Le cinéaste Marco Bellochio rétorqua que cette séquence était nécessaire pour expliciter la relation charnelle et fougueuse qui se noue entre les deux amants.. Maruschka Detmers, elle, se défendra en expliquant qu'elle aime jouer des rôles forts et extrêmes. A sa sortie en France, le film fut interdit aux moins de 12 ans.
Mais En dehors de cette scène culte, Maruschka nous gate en nous offrant plusieurs prestations entièrement à poil. 21° minute, elle sort de la salle de bain nue en courant pour prendre une serviette dans un placard. première présentation rapide de ses fesses, de ses seins et de son buisson (par ordre d'apparition à l'écran). 7 minutes après, dans le bureau du médecin, Maruschka se lève du canapé : elle est nue. Elle se précipite vers une porte qu'elle ferme à clé, puis jette la clé par la fenêtre. Tantôt de face, tantôt de dos, superbe plan sur son corps dénudé. Une demie-heure plus tard, une longue scène d'amour avec son jeune amant Federico entièrement nus tous deux bien sûr. Les mamelons de Maruschka sont superbement dressés. 69° minute, nouvelle scène d'amour. Federico la déshabille, l'allonge sur un piano, poursuit la jeune femme maintenant nue dans l'appartement... Et toujours ces mamelons en érection ! 83° minute, toujours dans le plus simple appareil, la touffe bien garnie en avant, Maruschka s'avance des clés à la main. Une nouvelle dois elle les jette par la fenêtre. Enfin, dans un salon dévasté, Maruschka danse, vêtue d'un peignoir rouge qui, malicieusement, laisse jaillir les poils pubiens de la jeune femme.
"Le Diable au Corps"
... Celle par qui le scandale est arrivé...En 1986, le réalisateur italien Marco Bellochio réalise une transposition très osée du célèbre roman de Raymond Radiguet?, "Le Diable au Corps"...
Pour tenir le principal rôle féminin, il fait appel à la belle Maruschka Detmers, laquelle n'hésite pas à nous dévoiler généreusement ses charmes...
Mais la scène qui lui valu surtout les foudres de la censure et les honneurs de la presse people fut celle où elle pratique une fellation non simulée à son partenaire, le jeune acteur italien Federico Pitzalis...le pénis et le sourire aux lèvres ! Le cinéaste Marco Bellochio rétorqua que cette séquence était nécessaire pour expliciter la relation charnelle et fougueuse qui se noue entre les deux amants.. Maruschka Detmers, elle, se défendra en expliquant qu'elle aime jouer des rôles forts et extrêmes. A sa sortie en France, le film fut interdit aux moins de 12 ans.
Mais En dehors de cette scène culte, Maruschka nous gate en nous offrant plusieurs prestations entièrement à poil. 21° minute, elle sort de la salle de bain nue en courant pour prendre une serviette dans un placard. première présentation rapide de ses fesses, de ses seins et de son buisson (par ordre d'apparition à l'écran). 7 minutes après, dans le bureau du médecin, Maruschka se lève du canapé : elle est nue. Elle se précipite vers une porte qu'elle ferme à clé, puis jette la clé par la fenêtre. Tantôt de face, tantôt de dos, superbe plan sur son corps dénudé. Une demie-heure plus tard, une longue scène d'amour avec son jeune amant Federico entièrement nus tous deux bien sûr. Les mamelons de Maruschka sont superbement dressés. 69° minute, nouvelle scène d'amour. Federico la déshabille, l'allonge sur un piano, poursuit la jeune femme maintenant nue dans l'appartement... Et toujours ces mamelons en érection ! 83° minute, toujours dans le plus simple appareil, la touffe bien garnie en avant, Maruschka s'avance des clés à la main. Une nouvelle dois elle les jette par la fenêtre. Enfin, dans un salon dévasté, Maruschka danse, vêtue d'un peignoir rouge qui, malicieusement, laisse jaillir les poils pubiens de la jeune femme.
Une autre pipe fera date, au milieu de perversions bien exhibées, celle de L'Empire des Sens(pipe rituelle, acceptable aussi).
Patrice Chéreau, dans Intimité, laissera tourner sa caméra lors d'une très courte - en tout cas, pour ce qu'il en reste à l'écran - fellation (une pipe tournée par Chéreau est acceptable également).
O Fantasma, de Joao Pedro Rodriguez, nous donne à voir une fellation faite par un homme (pipe homosexuelle et quasi documentaire, donc acceptable).
Enfin, Serbis du philippin Brillante Mendoza propose un exercice buccal hétéro visible et un homo caché (une fellation exotique, donc acceptable).
Loin de nous l’idée de nous moquer : certains de ces films sont excellents et le ixage les eût assassinés. Mais parfois, les censeurs ont de curieux critères qui leur permettent, heureusement, de laisser s’exprimer la veine érotique ou pornographique de bons auteurs… Continuez dans cette voie. Evidemment, ils n’auraient pas pu ixer le court-métrage d’Andy Warhol intitulé Blowjob, un gros plan sur le visage d’un joli jeune homme qu’on suppose être bien traité par des lèvres gourmandes. Puisque ce n’est pas « explicite », vous dit-on…
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